Oliver retrouve sa mère au moment où une fusillade a lieu. Si Moira n’est pas touché, l’homme qui l’accompagnait meurt. Ce dernier était lié à la mafia locale, dirigée par Frank Bertinelli. Oliver décide alors de faire affaire avec lui pour se rapprocher et en apprendre plus. Contre toute attente, il va se lier avec la fille du mafieux, Helena, qui possède elle aussi une double identité.
Jennifer Walters, avocate à la cour, la trentaine passée, célibataire de son statut, est donc une cousine de Bruce Banner, notre scientifique attitré des Avengers. Suite à un accident où elle ingère de son sang, la voici changée en She-Hulk (surnom qu’elle n’approuve pas de prime abord). Dès le début, on nous nous met dans l’ambiance avec nos deux Hulks qui font un stage d’été. Smart Hulk va apprendre à sa cousine comment gérer la transformation à savoir le self control. Par chance, étant une femme avocate qui se fait mansplainer partout, elle a l’habitude de garder son self control et aucune personnalité monstrueuse ne prend le dessus lorsqu’elle se transforme en Hulk. Elle rejoint rapidement un nouveau cabinet spécialisé dans les personnes dotées de super pouvoirs.
She-Hulk démarre sur Disney+ dès le 18 août au rythme d’un épisode par semaine pour 9 épisodes. Cette critique sans spoiler est basée sur les quatre premiers épisodes.
Après WandaVision qui a caressé le genre de la comédie sur les premiers épisodes et Hawkeye et son ton plutôt humoristique, She-Hulk propose enfin une véritable comédie dans l’univers Marvel qui embrasse le genre à bras le corps. Déjà par le format de 30 min qui assume pleinement, puis également avec des scènes absurdes et légers appuyés par le fait que notre héroïne brise le quatrième mur parfois. Cela n’enlève en rien au bon déroulement de l’histoire et à son suspens et ses scènes d’action. La série est truffée de références, on voit déjà Wong et Abomination dans les quatre premiers épisodes et les scénaristes ne comptent pas s’arrêter là. Il est vrai que d’énormes critiques ont été soulevées par rapport aux effets spéciaux, ce qui a entraîné une plus grande discussion sur les pratiques des films à plus gros budget de chez Marvel en général, mais quoi qu’il en soit, d’un point de vue visuel, ce n’est pas aussi horrible que ce qu’on veut nous faire croire. Et contre toute attente, on s’habitue très rapidement à l’effet Hulk à l’écran.
Commentaires (27)
Comme d’habitude, un épisode que j’apprécie revoir, déjà pour l’introduction de Helena Bertinelli et sa relation avec Oliver qui est sûrement l’un des points que je préfère de cette saison 1. En parlant de relation, j’apprécie toujours la relation Laurel/Tommy, et je trouve intéressant ce qui se passe avec Tommy et son père, ça va être intéressant de voir comment il va s’en sortir (même su je le sais déjà), il peut pas vivre indéfiniment au crochet de Laurel. En parlant de Tommy, on a vu une scène entre lui et Moira, j’aime beaucoup comment on nous montre à quelle point c’est lui qui commande. D’ailleurs on a revu Walter, cool. Pour revenir vite fait sur Oliver et Helena, j’aime beaucoup le fait qu’il se reflète l’un l’autre. Et pour parler un petit peu de la technique, je trouve qu’ils ont eu une bonne idée pour ne pas faire de champ contrechamp, et juste joué sur le flou. Sinon je trouve qu’ils font d’assez bon effort pour leur décors à certains moments Peut-être quelque défauts malgré, un rythme légèrement moins soutenu que d’habitude, mais qui laisse respiré l’épisode avec des scènes sympathiques (et donc ne me dérange absolument pas), la vraisemblance est un peu difficile pour cet épisode, entre Oliver qui pourchasse quelqu’un a pied alors qu’il a sa moto à côté de lui, et Helena qui tient bien le combat avec Oliver alors que leur niveau devrait être très différent.
Plutôt déçue par cet épisode ... La série avait pourtant bien débuté je verrais bien si la suite s'améliore
f
J'ai trouvé un peu gros le coup du collier qui tombe pendant le combat dans le restaurant alors que sa tenue de moto lui monte presque jusqu'aux oreilles... ^^
Je trouve qu'on tombe de plus en plus dans Dallas... J'espère que ce n'est que temporaire !!
UNE GIRL FRIEND ! SYMPA
J'ai bien aimé cet épisode, mais ce qui m'a manqué, ce sont les flashbacks sur l'île. La cadence ralentit un peu, ce qui n'est pas forcément plus mal non plus. Oliver va avoir un nouvel allier ? Faut voir comment va évoluer sa relation avec Helena.
Autant j'ai carrément accroché dès le début, autant ici je suis un peu déçue... Les scènes de bagarre sont parfois un peu bâclée et puis il est censé être anonyme et en quelques épisodes il révèle son identité à deux personnes en prenant des risques... Un peu moyen... Mine de rien cette série me fait clairement penser à Revenge, mais en moins bien... J'espère que ca va se reprendre...
Un épisode légèrement décevant par rapport aux précédents.
Bon episode
plus de sous tire en francais?........c'est vraiment dommage
Cet épisode m'a moins émoustillé que les précédents... je dois être fatigué ce soir ;-)
Rolala vous n'êtes pas romantique pour un sou sur BS ! x)
Un peu déçu par cet épisode, surtout la fin..
Pour ceux qui n'ont pas regardé tous les commentaires de la production de peur des spoilers, il y a différents arcs (no pun intended) à la série 1à6 pour découvrir le héros 7à12 pour découvrir le cercle dans lequel il évolue. Par ailleurs à l'épisode 9 toutes les questions posées depuis le début notamment à propos de l'ile et du syndicat criminel de merlyn pere et queen mere seront resolues. De nouvelles questions seront posées avec quelques cliffhangers. Sinon pour helena, on la verra dans l'épisode suivant sûr.
Une étoile de moins pour la fin cucul.
Bon épisode mais je trouve que le père de Merlyn est plus jeune que lui !! Bizarre non ?
la question est "où va t-on" ?
J'ai bien aimé, le jeu se met en place. Et la scène finale était tellement ... attendue :P mais elle valait le coup d'attendre ^^
Franchement un bon épisode. Et le coup du père de Merlyn, j'avais pas vu le coup venir. C'est peut-être parce que dans la vraie vie ils n'ont que 15 ans d'écart, et que du coup, ils ont plus l'air de frères que de père/fils.