Suite à la révélation de la photo d'Oliver dans le costume de Green Arrow, Oliver fait l’objet d'une campagne de presse insistante et d'une enquête du FBI. Oliver ne peut donc pas renfiler le costume sans risquer d'être démasqué ni d'être tué et laisser William orphelin, mais Anatoly Knazyev revient à Star City pour s'en prendre à une délégation markovienne. Dinah voit que Diggle cache la vérité sur sa condition qui le retient d'utiliser son arme sur le terrain.
Jennifer Walters, avocate à la cour, la trentaine passée, célibataire de son statut, est donc une cousine de Bruce Banner, notre scientifique attitré des Avengers. Suite à un accident où elle ingère de son sang, la voici changée en She-Hulk (surnom qu’elle n’approuve pas de prime abord). Dès le début, on nous nous met dans l’ambiance avec nos deux Hulks qui font un stage d’été. Smart Hulk va apprendre à sa cousine comment gérer la transformation à savoir le self control. Par chance, étant une femme avocate qui se fait mansplainer partout, elle a l’habitude de garder son self control et aucune personnalité monstrueuse ne prend le dessus lorsqu’elle se transforme en Hulk. Elle rejoint rapidement un nouveau cabinet spécialisé dans les personnes dotées de super pouvoirs.
She-Hulk démarre sur Disney+ dès le 18 août au rythme d’un épisode par semaine pour 9 épisodes. Cette critique sans spoiler est basée sur les quatre premiers épisodes.
Après WandaVision qui a caressé le genre de la comédie sur les premiers épisodes et Hawkeye et son ton plutôt humoristique, She-Hulk propose enfin une véritable comédie dans l’univers Marvel qui embrasse le genre à bras le corps. Déjà par le format de 30 min qui assume pleinement, puis également avec des scènes absurdes et légers appuyés par le fait que notre héroïne brise le quatrième mur parfois. Cela n’enlève en rien au bon déroulement de l’histoire et à son suspens et ses scènes d’action. La série est truffée de références, on voit déjà Wong et Abomination dans les quatre premiers épisodes et les scénaristes ne comptent pas s’arrêter là. Il est vrai que d’énormes critiques ont été soulevées par rapport aux effets spéciaux, ce qui a entraîné une plus grande discussion sur les pratiques des films à plus gros budget de chez Marvel en général, mais quoi qu’il en soit, d’un point de vue visuel, ce n’est pas aussi horrible que ce qu’on veut nous faire croire. Et contre toute attente, on s’habitue très rapidement à l’effet Hulk à l’écran.
Commentaires (26)
Ce qui me choque c'est que Thea est dans le comas et genre personne n'en parle, tout le monde s'en fout !
MDR dire qu’il arrête à son meilleur pote qui a lui même un enfant, ça avait bien commencé et ça se gâte...
Je pensais que ça serait plus dur pour Oliver de se protéger des accusations, quand même. Et genre, il demande à Diggle de devenir le Green Arrow à sa place, je trouve cela un peu gonflé, sachant que Diggle a lui même un fils encore plus jeune que celui d'Oliver, et une femme etc.etc. Bon, je sais, ils sont plus protégés car ils sont sous la protection d'ARGUS alors que le fils d'Oliver non, mais quand même. Enfin, je sais pas, je continue de regarder la série par habitude et par fidélité mais c'est bof bof... Tous les persos intéressants finissent par disparaître, que ce soit Roy, Thea, Nyssa ou Laurel. Y'a plus que ma pauvre Felicity dans le coin, et encore, elle est bloquée dans une stupide romance avec Oliver, ça me soûle! X)
Très très bon...voila que Oliver abandonne...
Bon... PAs super super cette énième histoire de "démasquage" du Green arrow. J'aime beaucoup Anatoly mais là, l'épisode était vide. À part les storylines de Diggle (avec ses postures 'mr propre' presque à chaque scènes de discussions) et William c'était d'une platitude... J'avais cru comprendre au début du speech d'Oliver qu'il partagerait le capuchon avec Diggle mais je suis plus certain...
J’ai trouvé un point positif : Curtis n’a plus ses tresses quand il combat. Quelqu’un a du se rendre compte qu’il n’avait pas le temps de passer chez le coiffeur avant chaque combat !
J'ai décidé d'arrêter de regarder Arrow ca devient trop naze, je préfère regarder des séries solides avec de vrais scénarios et un bon jeu d'acteur. C'est décidé je retourne voir Supergirl et Legends of Tomorrow LOOOOOOOOOL
Soporifique. Terriblement mauvais.
Parce que dans le monde dans lequel ils vivent il y a Bruce Wayne qui existe c est tout
C'est quoi ce délire, pourquoi il parle de Bruce Wayne et de Gotham? Ne me dites pas que CW va massacrer le dark night dans une prochaine série !!! Et pourquoi il grille sa couverture pour préserver la sienne en grand public? Aucun sens
Ridicule fin sachant ce que Diggle cache. Et le Green Arrow c'est Oliver et personne d'autre
j'ai rarement vu autant de critiques négatives et pourtant on en est à la 6ème saison.....
complètement d'accord avec vos commentaires : pas du tout logique le Oliver avec sa demande à John. il aurait pu demander à Mr Terrific au moins lui est vraiment tout seul
Plus aucun flashback, c’est quand même top !
Je pensais que Oliver demanderai à John de s occuper de son fils si jamais il mourrait ... mais non , ça aurait été mieux qu il lui demande ça au lieu d être GA alors qu avec sa main qui tremble c est pas trop possible rrrrrrr
Pas le meilleur épisode mais j'aime bien le ptit clin d'oeil à Bruce Wayne et gotham
C'est complètement idiot...Y'a plus personne pour écrire un scénario qui tienne la route au moins deux minutes ?????
Je me suis ennuyée d'un bout à l'autre. C'était plat malgré les scènes d'action, on rejoue toujours les mêmes scènes ou presque... Au moins ont-ils répondu à l'une des questions les plus pertinentes depuis longtemps : de quoi vivent les membres de l'équipe ? Les scènes Oliver/William sont plus convaincantes que tout le reste. J'ai bien aimé que ce soit René qui lui donne des conseils. Par contre, Oliver est très drôle : il ne veut plus être Green Arrow parce qu'il ne veut pas faire de son fils un orphelin, mais demander à John, qui est également père de famille, de prendre sa place, ça ne le dérange pas !
C'est quoi cette fin !!! "Oh non, maintenant que j'ai un enfant, je veux plus être une cible, tiens si je refilais le fardeau disons... à un autre membre de l'équipe avec enfant !" Logique imparable...
chiant