Une équipe de journalistes suit Oliver Queen dans ses déplacements pour les besoins d'un documentaire consacré à la montée en puissance des justiciers. L'ex-maire et ses proches sont interviewés pour évoquer leur passé de hors-la-loi et l'importance de l'Archer vert pour Star City. Ainsi épié par les caméras, Oliver doit gérer une crise et le retour de son fils en ville.
Jennifer Walters, avocate à la cour, la trentaine passée, célibataire de son statut, est donc une cousine de Bruce Banner, notre scientifique attitré des Avengers. Suite à un accident où elle ingère de son sang, la voici changée en She-Hulk (surnom qu’elle n’approuve pas de prime abord). Dès le début, on nous nous met dans l’ambiance avec nos deux Hulks qui font un stage d’été. Smart Hulk va apprendre à sa cousine comment gérer la transformation à savoir le self control. Par chance, étant une femme avocate qui se fait mansplainer partout, elle a l’habitude de garder son self control et aucune personnalité monstrueuse ne prend le dessus lorsqu’elle se transforme en Hulk. Elle rejoint rapidement un nouveau cabinet spécialisé dans les personnes dotées de super pouvoirs.
She-Hulk démarre sur Disney+ dès le 18 août au rythme d’un épisode par semaine pour 9 épisodes. Cette critique sans spoiler est basée sur les quatre premiers épisodes.
Après WandaVision qui a caressé le genre de la comédie sur les premiers épisodes et Hawkeye et son ton plutôt humoristique, She-Hulk propose enfin une véritable comédie dans l’univers Marvel qui embrasse le genre à bras le corps. Déjà par le format de 30 min qui assume pleinement, puis également avec des scènes absurdes et légers appuyés par le fait que notre héroïne brise le quatrième mur parfois. Cela n’enlève en rien au bon déroulement de l’histoire et à son suspens et ses scènes d’action. La série est truffée de références, on voit déjà Wong et Abomination dans les quatre premiers épisodes et les scénaristes ne comptent pas s’arrêter là. Il est vrai que d’énormes critiques ont été soulevées par rapport aux effets spéciaux, ce qui a entraîné une plus grande discussion sur les pratiques des films à plus gros budget de chez Marvel en général, mais quoi qu’il en soit, d’un point de vue visuel, ce n’est pas aussi horrible que ce qu’on veut nous faire croire. Et contre toute attente, on s’habitue très rapidement à l’effet Hulk à l’écran.
Commentaires (14)
J'ai trouvé cet épisode bof bof aussi, l'idée du reportage était sympa mais mal faite je trouve, on ne se sent pas assez immergé dedans.
Cela faisait treeeeees longtemps qu’ils nous avaient pas sorti un excellent épisode. Cette transition de l’équipe donne un nouveau potentiel. Bon quelques ombres au tableau avec ce documentaire qui met à jour des personnes ou des choses censées rester secrètes mais c’est plutôt original et bien amené dans la série. J’espère que l’on va avoir plus de flashforward car on a Connor (Hawke?) et Mia (Dearden?) et ça c’est plutôt bon signe.1
Ce 150eme épisode de Arrow était très intéressant. Cette réalisation typé documentaire offre une belle perspective et une jolie mise en lumière sur l'évolution de la série depuis ses débuts. Et puis l'arc du futur est toujours aussi intriguant je trouve
lol Diggle avec le logo d'argus, moi qui croyais que c'était une agence ultra secrète
Un petit air de civil war eco+ dans le sens ou les juticiers travaillent avec le gouvernement (bon ici la police) et leurs identités sont connues assez spécial comme épisode mais plutot sympa
Spoil - - - Oh non ils bossent tous pour la police maintenant.. Le présent est pourrave et ennuyeux... vivement un plus grand focus sur le futur .. La future génération envoie du lourd entre Connor et tous les autres avec Roy
Biazare comme épisode... Quelqu'un sait qui est la blonde avec Connor Hawke à la fin?
Idée pas mal pour un 150e episode et revoir un peu tout le monde mais ça manquait de quelque chose.
Épisode assez spéciale pour le coup.
Oh putain, j'avais complètement oublié Ragman !! 😂 Pas mal l'idée du documentaire, le reste bof