Quand une auteure à succès est tuée, Lucifer et Chloe découvrent que ses livres sont inspirés de vraies personnes émanant de son passé et ils doivent infiltrer une réunion d’anciens lycéens afin d’attraper l’assassin. Pendant ce temps, Amenadiel et Linda peinent à rendre leur relation publique.
Adaptée du best-seller d’Esi Edugyan, Washington Black débarque sur Disney+ le 23 juillet et s’impose d’emblée comme l’une des séries les plus ambitieuses de l’été. En huit épisodes, elle mêle aventure, drame et quête d’identité à travers les yeux d’un jeune héros en fuite, dans un récit qui oscille entre la dureté de l’histoire et la beauté de l’espoir.
L’histoire débute dans les années 1830, sur une plantation de la Barbade. George Washington “Wash” Black, un enfant esclave aux multiples talents, assiste à un événement tragique qui l’oblige à prendre la fuite. Son parcours le conduit à Medwin Harris, ancien esclave devenu homme libre en Nouvelle-Écosse, incarné par le charismatique Sterling K. Brown. Ensemble, ils entament un périple hors du commun, du Canada à l’Arctique en passant par les terres africaines, toujours poursuivis par un chasseur de primes déterminé.
Ce récit d’émancipation prend vie grâce à une distribution brillante. Ernest Kingsley Jr. impressionne dans le rôle de Wash, apportant justesse et intensité à ce personnage en perpétuelle reconstruction. À ses côtés, Iola Evans, Edward Bluemel et Tom Ellis — qu’on connaît bien pour son rôle dans Lucifer — enrichissent la série de personnages complexes et profondément humains. L’alchimie entre les protagonistes renforce encore la portée émotionnelle de cette quête de liberté.