Vanya fulmine quand elle découvre ses frères et sa sœur tenant une réunion de famille sans elle. Cinq commence à travailler au QG. Cha-Cha est confrontée à un dilemme.
Ce soir, lundi 23 septembre, Paris Has Fallen vous donne rendez-vous avec Vincent Taleb, agent de protection, et Zara Taylor, du MI6, prêts à tout pour déjouer le plan machiavélique de Jacob Pearce, une ancienne figure de la légion étrangère, désavouée par ses supérieurs et laissée aux mains des ennemis, ici les forces afghanes. Torturé et violé, il a également vu sa famille mourir sous ses yeux. Animé par une vengeance qui ne connaît aucune limite, Pearce va éliminer tous ceux qu’ils considèrent à l’origine de ces malheurs. Mais se pourrait-il qu’il soit simplement la pièce d’un puzzle plus grand ? Continuité télévisuelle de la trilogie cinématographique emmenée par Gerard Butler (qui en est un producteur exécutif), La Chute de la Maison-Blanche, La Chute de Londres et La Chute du Président, la série La Chute de Paris (Paris Has Fallen) n’a rien à envier à ses prédécesseurs qui ont trouvé le succès sur grands écrans.
Au cours seulement de ses dix premières minutes, Paris Has Fallen nous montre une fusillade dans une ambassade, des combats à mains nues, une exécution d’une balle dans la tête et la rencontre des deux héros : Vincent Taleb (Tewfik Jallab), agent chargé de protéger le ministre français de la Défense et Zara Taylor, (Ritu Arya vue dans Umbrella Academy) une jeune femme énigmatique appartenant au MI6. La série de Canal+ donne le ton dès son introduction : elle n’est pas là pour perdre du temps ni en faire perdre aux téléspectateurs. C’est ainsi que pendant les 8 épisodes que dure cette mini-série internationale, le curseur de l’action est toujours poussé à son maximum sans guère de temps mort. Si Paris Has Fallen n’invente rien au niveau scénaristique – un ancien agent secret cherche à se venger de ceux qui l’ont trahi – la fiction propose un spectacle de qualité digne d’un long-métrage. Mais pour qu’une œuvre du genre fonctionne, elle a besoin d’un antagoniste redoutable, malin et très bien renseigné. Et à ce jeu-là, Sean Harris excelle. L’acteur britannique, habitué aux rôles de mercenaire psychopathe, a façonné un Jacob Pearce froid et sans pitié, guidé par un esprit vindicatif simplement inarrêtable. Face à lui, donc, Vincent et Zara, deux brillants agents qui vont rapidement former une équipe efficace et complémentaire : lui, taiseux et organisé, elle, bavarde et instinctive. Mais le créateur et scénariste de la série, Howard Overman, n’a pas voulu créer des coquilles vides lorsqu’il a pensé à ces deux personnages et, pour leur ajouter du relief émotionnel, leur a conféré des vies intimes plutôt complexes. Ainsi, Vincent entretient une relation amoureuse – et secrète – avec la présidente de la République française (jouée impeccablement par Emmanuelle Bercot) quand Zara, elle, vit une histoire d’amour avec une jeune femme qu’elle sauve régulièrement de l’overdose de drogue.
Des ressorts classiques, mais intemporels qui font de Paris Has Fallen une série d’action maîtrisée et parfaitement chorégraphiée. Une fiction qui tient toutes les promesses d’un projet international d’envergure : grandiose dans les moyens engagés, énorme dans ses enjeux – ici, c’est la ville de Paris qui est menacée.
Commentaires (18)
Comment se faire bien avoir lol, mais très bonne idée bien sûr, tout ce futur alternatif effacé qui a révélé beaucoup de choses. Numéro cinq a beau jouer les arrogants, tout ce qu'il fait c'est pour protéger sa famille même s'ils ne le voient pas. Les personnages sont tous très complexes et les comédiens-nes parfaits pour leurs rôles !
Je me rappelle plus si on voit numéro 7 morte dans l’épisode dans le futur. Mais je me dis qu’il est aussi possible que ce soit une de ses colères monumentales qui fasse boum ! Et là on peut comprendre pourquoi numéro 5 revient en arrière, il faut éviter qu’elle soit dans des sentiments négatifs. Idée peut-être mauvaise mais voilà...
Episode génialissime, le meilleur à mes yeux !! J'ai retrouvé toute la magie et la fantaisie des plus beaux épisodes de Dr Who. Quel sadisme de la part des scénaristes ! Tant de mystères dévoilés, et paf ! Retour à la case départ. Comédiens au top, BO au top, J'ADORE !!
On commence à se douter qui est l'auteur de l'apocalypse.
Le reset qui change tout ! Arghh ! Bien vu !
Assez osé de faire un épisode qui sert à rien ...
Pourquoi tout annuler, alors que c’est à mon sens le meilleur épisode jusqu’à présent?
Super episode !!! Que d'avancées !! Pour rien !! Lol ! L'acteur qui joue Cinq est vraiment bon !!
Bon ben classique retour dans le temps pour arranger la situation, dommage considérant que c’est l’épisode où il se passe le plus de choses ! Par contre la relation Luther/Allison je m’y attendais et c’est hyper dérangeant je trouve... jamais compris ce besoin qu’ont les américains de mettre de la romance partout c’est dingue. Et puis le Harold Jenkins je pense qu’on a tous compris de qui il s’agissait...
C moi où il y avait un soupçon de je ne sais quoi de sense8-esque dans cet épisode ? Excellent épisode par ailleurs
Et bam, juste comme ça, Five efface toute une journée riche en découvertes et autres rebondissement. Pas merci, mec xD ! Bon, et ce Harold Jenkins : je pense en effet que c'est Leonard, parce qu'il se révèle de PLUS EN PLUS LOUCHE
Bordel un épisode pour presque rien ^^ Enfin si une piste....
Pas vu venir celui-là !
Non mais non il s’était passer trop de choses et voilà retour à la case départ 😂
Harold Jenkins... soit c'est un inconnu sorti du chapeau, soit c'est quelqu'un qui n'a pas donné son vrai nom lorsqu'il a pris sa première leçon de violon