Dwight arrive en retard à une réunion du matin. Michael y annonce que les membres de l'équipe de vente vont faire des binomes dans une course au contrat. Andy passe la journée à essayer de convaincre Michael que Dwight n'est pas digne de confiance, alors que le duo Dwight-Jim est d'une grande efficacité. Phyllis révèle à Karen que Jim a longtemps eu des sentiments pour Pam, et Stanley piège Ryan en le laissant rencontrer tous leurs clients noir-américains. Durant ce temps, Kevin dit à Angela que leurs rapports de vente n'ont pas été envoyés à New York, mais Angela l'assure que le problème a été réglé. Aux retours des équipes, Andy découvre que le retard de Dwight était dû à un voyage à New-York afin de déposer les rapports d'Angela. Dwight, plutôt que de révéler sa relation avec Angela préfère démissionner.
S’il y a une comédie qui ne cherche ni la rédemption de ses personnages, ni l’émotion facile, c’est bien It’s Always Sunny in Philadelphia. Depuis 2005, la série imaginée par Rob McElhenney s’impose comme l’un des ovnis les plus tenaces du paysage télévisuel. Au fil des saisons, elle a su conserver une liberté de ton rare, en s’amusant avec les pires travers de l’âme humaine — le tout dans un bar irlandais en ruine de Philadelphie.
Et bonne nouvelle : cette nouvelle saison débarque en France sur Disney+ dès le 10 juillet.
Charlie, Dennis, Mac, Dee et Frank : cinq personnalités aussi dysfonctionnelles qu’inoubliables. Interprétés par un casting aussi engagé que talentueux (Danny DeVito en tête), ils forment une équipe d’arnaqueurs minables, constamment embarqués dans des plans foireux. Ce sont eux qui font toute la saveur de la série : antipathiques au possible mais toujours capables d’arracher un éclat de rire.