Ryan invite Michael à intervenir devant les étudiants de son école de commerce. Michael essaie de faire un discours motivant « à la Michael », ignorant que Ryan l'a présenté comme le gestionnaire inefficace d'une société bientôt obsolète. Durant ce temps, une chauve-souris est découverte au bureau par Dwight qui monte une opération destinée à l'attraper, alors que Jim lui fait croire que mordu par l'animal, il devient un vampire. Le soir, Pam expose ses œuvres dans une galerie, et remarque avec dépit que peu de ses collègues se sont déplacés et que les quelques avis sont très critiques. Après la conférence où il a défendu les vertus du papier face à l'informatique, Michael arrive à l'exposition, complimente Pam sur son travail et lui achète un dessin représentant l'immeuble du bureau. Désigné comme un mauvais élément pour avoir dénigré Michael et la société en public, Ryan est expédié dans le petit bureau avec Kelly.
S’il y a une comédie qui ne cherche ni la rédemption de ses personnages, ni l’émotion facile, c’est bien It’s Always Sunny in Philadelphia. Depuis 2005, la série imaginée par Rob McElhenney s’impose comme l’un des ovnis les plus tenaces du paysage télévisuel. Au fil des saisons, elle a su conserver une liberté de ton rare, en s’amusant avec les pires travers de l’âme humaine — le tout dans un bar irlandais en ruine de Philadelphie.
Et bonne nouvelle : cette nouvelle saison débarque en France sur Disney+ dès le 10 juillet.
Charlie, Dennis, Mac, Dee et Frank : cinq personnalités aussi dysfonctionnelles qu’inoubliables. Interprétés par un casting aussi engagé que talentueux (Danny DeVito en tête), ils forment une équipe d’arnaqueurs minables, constamment embarqués dans des plans foireux. Ce sont eux qui font toute la saveur de la série : antipathiques au possible mais toujours capables d’arracher un éclat de rire.