À la recherche d'un nouveau lieu de vie, Charlie découvre qu'un rabbin vit seul dans une synagogue. Pendant ce temps, Sarah et Dwight rencontrent des ennemis surprises.
Six ans après l’explosion du pont, Rick n’a qu’un seul objectif : retrouver Michonne, quoi qu’il lui en coûte. Une quête qui va motiver chacune de ses décisions. Une obsession qui anime également la jeune femme qui devra endurer de nombreux sacrifices pour partager de nouveau des moments avec Rick. Mais dans un monde décimé par les morts-vivants, dans lequel il est impossible de compter sur quiconque pour assurer sa survie, l’amour est-il encore possible ? Après Dead City et Daryl Dixon, voici au tour de The Ones Who Live d’arriver, sur Paramount+.
Grâce à Paramount+, les aventures de Rick et Michonne vont enfin être diffusées en France. Des aventures qui se déclinent sous la forme d’une mini-série de six épisodes dans laquelle on voit les amoureux maudits traverser des épreuves terribles pour se retrouver, coûte que coûte. Un objectif noble dans un monde où les sentiments en général, et l’amour en particulier, n’ont pas leur place. Et c’est bien là le plus gros obstacle pour les deux amoureux. Dans le premier épisode de The Walking Dead : The Ones Who Live, on voit que Rick (Andrew Lincoln) n’a jamais perdu de vue son objectif, malgré ses six ans passés au cœur de la CRM (Civic Republic Military) où chacun de ses mouvements était épié. Le second épisode est la parfaite symétrie de cette introduction puisqu’il se concentre sur ce même laps de temps, mais du point de vue de Michonne (Danai Gurira). Et si la relation est évidemment au centre de ce nouveau spin-off de The Walking Dead, les personnages périphériques apportent de nombreux atouts à l’intrigue. Le personnage de Jadis (Pollyanna McIntosh) en tête, qui a bien conscience de la menace que représenterait le couple Rick/Michonne pour l’équilibre de la CRM si, d’aventure, il venait à être réuni.
L’autre grande force de The Walking Dead : The Ones Who Live réside dans son relief scénaristique où allers-retours dans le temps et univers onirique se passent le relais afin de happer le public dans les dédales émotionnels des deux protagonistes. Des émotions qui prennent une tout autre dimension lorsque Rick et Michonne frôlent un « presque » bonheur, proches physiquement, mais incapables de vivre leur amour au grand jour. Cette série dérivée vient donc enrichir l’univers de la série mère au même titre que The Walking Dead: Dead City, qui se focalise sur les personnages de Negan (Jeffrey Dean Morgan) et de Maggie (Lauren Cohan), The Walking Dead: Daryl Dixon qui se met en scène le héros joué par Norman Reedus ou encore Fear The Walking Dead.
Commentaires (8)
Je galère à finir cette saison 5, et jme dis qu'il y a la saison 6 derrière et que cela a été renouvelé pour une saison 7.... Faut vraiment que les chaines TV revoient leur façon de choisir quelles séries méritent ou non d'être renouvelées...
moiais.. c'est pas mauvais, mais cela n'a rien de transcendant non plus,c'est du déjà-vu,dans TWD et dans FTWD,il manque vraiment quelque chose de nouveau,quelque chose qui scotcherait un peu plus les téléspectateurs que ce qui est proposer...
J’espère que c’est pas un nouvel épisode de perdu de vue
Je mets rarement 1*, mais c’est bien mérité pour cet épisode. Perte de temps de A à Z.
Je regarde en fond...sonore cette série...depuis bien longtemps...
Seul intérêt : voir l’acteur de Colony
Bof. La scène sur les voitures était un peu ridicule, pas la même tension que lorsque c'était Glen sur sa poubelle. Aucun zombie pour tendre le bras au dessus de 2 mètres ? sérieusement ? Et puis cette géniale idée pour éloigner les zombies: faire du bruit, wow, la même stratégie que depuis toujours, pourquoi ne pas l'avoir fait 10 minutes plus tôt et nous éviter ça.
Cela fait plaisir de voir Charlie au centre de l’intrigue