Laurène n’a d’autre choix que de pactiser avec Bertrand et ses hommes pour tenter de débusquer Cernunnos. La traque est lancée au plus profond de la forêt. Gérald compte bien en profiter pour régler ses comptes avec son fils, à moins que Siriani n’arrive à le faire tomber avant. Mais c’est compter sans Cora et les Enfants d’Arduinna qui sont sur le point de commettre l’irréparable.
Quand TF1 sort un thriller, en tant que sériephile, on s’attend à un produit assez consensuel. Pourtant, avec Syndrome E, la chaîne nous prouve le contraire. Alors certes, le format 6 épisodes de 52 minutes reste très à la française, mais la production pourrait en surprendre plus d’un. Une mise en scène moderne, des personnages différents et imparfaits, une histoire mystérieuse et haletante, c’est la promesse de Syndrome E qui commence en avant-première sur Salto dès le 22 juillet.
Ambitieuse, voilà comment résumer cette nouvelle série produite par Escazal Films (Ils étaient dix, etc.), écrite par Mathieu Missoffe (Zone blanche) et réalisée par Benjamin Rocher (Para//eles). Voici la rencontre de Lucie Hennebelle et Franck Sharko, deux héros des romans de Franck Thilliez qui font équipe pour une enquête. L’adaptation a pris quelques libertés au niveau scénaristique, ici, Hennebelle est au cœur de l’affaire qui nous intéresse. On apprend un peu leur passé sans trop en dévoiler.
La plus grande surprise sans doute, c’est les touches de gore et d’horreur avec suspicion d’expériences scientifiques. À partir de là, ce n’est plus une simple histoire policière qui se déroule mais une enquête plus mystérieuse. L’équipe de la crim’ est composée de tempéraments différents mais complémentaires qui apportent des pauses humour plus que bienvenues. Au casting, on retrouve Vincent Elbaz en Sharko traumatisé, Jennifer Decker qu’on découvre sur petit écran, Kool Shen, Bérangère Krief et même Emmanuelle Béart est en guest.