Le meurtre d'un étudiant prend une tournure bizarre quand Jane et Maura découvrent qu'il avait 32 copines. Alors en train de chercher qui l'a tué et pourquoi, elles sont entraînées dans un monde de développeurs d'applications, des amis virtuels et des relations fondées sur des mensonges. Pendant ce temps, Korsak introduit enfin à tout le monde la nouvelle femme dans sa vie.
La série est créée par le duo Brandon Margolis et Brandon Sonnier qui ont travaillé sur une autre série policière, Blacklist. LA’s Finest, en VO, cache une série dérivée du film Bad Boys 2 de 2003 avec Will Smith et Martin Lawrence. Dans ce second opus, Gabrielle Union joue Sydney 'Syd' Burnett, agent spécial, qui est la sœur de Marcus (Lawrence) et la petite amie de Mike (Smith). Dans la série, Gabrielle Union est désormais flic à Los Angeles. Elle se voit assistée par une nouvelle co-équipière jouée par Jessica Alba (Dark Angel). Au casting, on retrouve également des têtes connues des cinéphiles et sériephiles comme Zach Gilford (le timide Matt Saracen dans Friday Night Lights) ou encore Ryan McPartlin (le fameux Captain Awesome de Chuck).
Los Angeles Bad Girls a été diffusée sur la petite chaîne américaine Spectrum et nous permet de retrouver Jessica Alba qu’on avait laissée dans le rôle de Max Guevara dans Dark Angel en 2002. 20 ans plus tard, et après des caméos dans The Office ou un petit rôle dans The Spoils of Babylon, Jessica Alba trouve ici un rôle différent de tout ce qu’elle a pu jouer. Elle incarne Nancy, mère de famille divorcée et ancienne criminelle.
Avec les enquêtes policières dans chaque épisode, il y a également une enquête globale qui touche un des quartiers de Los Angeles, Koreatown. Le passé des deux jeunes femmes ressurgit aussi pour donner un fil rouge plutôt convaincant au gré des épisodes.
Commentaires (2)
Comme le précédent, cet épisode est plutôt moyen. L'enquête m'a paru flou et tortueuse. Elle ne m'a pas particulièrement intéressée, donc. L'histoire perso simple mais sympathique du côté de Maura, mais du côté de Kitty, il ne servait à rien de mettre un visage sur un nom.
Je ne sais pas… Déjà, l’histoire perso de Maura avec son père ne me passionne pas… Kitty non plus, en fait, je la préférais quand on ne la voyait pas, comme Mme Colombo… Jane qui fait bisquer sa copine avec la veste, c’est amusant mais loin d’être palpitant… Reste donc l’enquête, qui se tient, mais ne m’a pas accroché outre mesure non plus, le principe de l’application « faux copain mais vraie personne » me paraissant peu cohérent (vu qu’a priori, ça aurait dû être une bête application, ça aurait été plus logique…). Bref, pas mon préféré.