Un ancien ami de Walter lui propose un travail lucratif lui permettant de couvrir ses frais de traitement. Jesse essaie de produire de la meth lui-même.
En compétition sérielle cette année au GIFF, The Danish Woman marque le grand retour de Benedikt Erlingsson (Woman at War) au format série. Coproduite entre l’Islande et le Danemark, la fiction est diffusée sur la chaîne publique islandaise RÚV et arrivera sur Arte courant de l'année prochaine. Le pitch ? Une ex-agente des services secrets danois s’installe dans un vieil immeuble de Reykjavik. Très vite, elle s’impose comme la voisine bienveillante, celle qui aide, conseille… puis contrôle. Sous ses airs distingués, la « Danish woman » devient l’incarnation miniature d’un empire paternaliste : elle envahit votre quotidien au nom du bien commun. Erlingsson, le co-créateur, co-scénariste et réalisateur présent au festival résume son concept avec ironie : « C’est l’histoire d’un empire qui emménage dans votre immeuble, commence par vous aider… puis finit par vous gouverner. »
La série observe ainsi la tentation de la toute-puissance morale, ce « double tranchant » où la fin justifie les moyens. Après Woman at War et son éco-guerrière lumineuse, The Danish Woman explore le versant sombre du même idéal : que se passe-t-il quand la volonté de bien faire vire à l’ingérence ?
Ditte Jensen, incarnée par Trine Dyrholm, est tout sauf une héroïne modèle. Erlingsson s’amuse d’ailleurs du cliché hollywoodien du personnage « sympathique » : « Il existe un livre intitulé Save the Cat, qui explique que le héros doit sauver un chat dans la première scène pour qu’on l’aime. Moi, j’ai décidé de tuer le chat. » et ce, dès la séquence d'ouverture de la série... pour vous dire que non, le spectateur ne décrira pas Ditte comme une gentille dame.
Commentaires (20)
Episode long malgré une petite révélation à la fin pas très intéressante
La série est trop bien mais cet ep est le plus lourd! Trop long pour peu, certe il y a beaucoup de choses importantes mais je reste sur ma faim
La scène du coussin de parole est juste hilarante ! ?
Episode touchant, cependant j'aimerais vraiment que Walter prennent des décisions concrêtes, qu'il arrête de passer du coq à l'âne, enfin je suppose que ça va rapidement arriver dans les prochains épisodes !
Tangeek applaudit des trois mains.
J'ai vraiment beaucoup de mal a adhérer, rien que le personnage principal je peux pas m empêcher de repenser au père un peu gogole dans Malcolm... Et l'histoire en gros c est "weeds" en plus pourri... Désolée pour les fans hein c est juste ce que moi je ressens
La scène du conseil de famille, avec le "coussin de la parole" est juste fabuleuse. Un savant dosage d'humour et de dialogues on ne peut plus réalistes. Superbe.
Il était tellement classe, Jesse en costard. xD
J'aime la détermination de Jesse dans cet épisode ! Il va jusqu'à chercher un job !
C’est impressionnant ce que cette série sonne vrai. Je suis pris depuis le premier épisode. Bravo, je ne pense pas avoir vu ça depuis longtemps !
On est ici dans la psychologie encore une fois, des personnages. Il faut bien que les personnages soient développés pour la suite de l'histoire et de la série. C'edt vrai que c'est mou mais je pense qu'il faut laisser le temps de faire monter la sauce !!!
wanna cook ? :) bonne série, pour l'instant j'ai aimé tous les épisodes ! j'ai un peu honte d'être passée aussi longtemps à côté de cette série xD
pour moi le meilleur épisode depuis le début de la série
Wahou, quel épisode.... moins d'action, mais beaucoup d'émotions !
V est une bonne série fantastique, on ne peut pas la mettre dans le même registre que Breaking Bad C'est juste différent
Peut-on dire pour autant qu'il a raté sa vie ? Qu'il est passé à côté de quelque chose ?
Pffff, parfois on se demande pourquoi les scénaristes s'imposent autant d'épisodes s'ils ne savent pas comment les remplir... si ce n'est par des tableaux culs culs et interminables de niaiseries... Du rythme svp, je commence déjà à m'ennuyer au bout de 5 épisodes !!!