Walt est convaincu que son état de santé se détériore. Il continue d'avoir des quintes de toux et crache maintenant du sang. Il se rend compte qu'il n'y a pas beaucoup d'argent à gauche pour sa famille. Lui et Jesse partent pour le désert pour une séance marathon de cuisson sur un week-end prolongé. Jesse continue simplement de mettre les pieds dans le plat, cette fois en laissant les clés dans le contact et par inadvertance, de vider la batterie. Ils se retrouvent au milieu du désert, dans le froid et sans beaucoup d'eau. Les connaissances de Walt en chimie sauvent à nouveau la journée.
En compétition sérielle cette année au GIFF, The Danish Woman marque le grand retour de Benedikt Erlingsson (Woman at War) au format série. Coproduite entre l’Islande et le Danemark, la fiction est diffusée sur la chaîne publique islandaise RÚV et arrivera sur Arte courant de l'année prochaine. Le pitch ? Une ex-agente des services secrets danois s’installe dans un vieil immeuble de Reykjavik. Très vite, elle s’impose comme la voisine bienveillante, celle qui aide, conseille… puis contrôle. Sous ses airs distingués, la « Danish woman » devient l’incarnation miniature d’un empire paternaliste : elle envahit votre quotidien au nom du bien commun. Erlingsson, le co-créateur, co-scénariste et réalisateur présent au festival résume son concept avec ironie : « C’est l’histoire d’un empire qui emménage dans votre immeuble, commence par vous aider… puis finit par vous gouverner. »
La série observe ainsi la tentation de la toute-puissance morale, ce « double tranchant » où la fin justifie les moyens. Après Woman at War et son éco-guerrière lumineuse, The Danish Woman explore le versant sombre du même idéal : que se passe-t-il quand la volonté de bien faire vire à l’ingérence ?
Ditte Jensen, incarnée par Trine Dyrholm, est tout sauf une héroïne modèle. Erlingsson s’amuse d’ailleurs du cliché hollywoodien du personnage « sympathique » : « Il existe un livre intitulé Save the Cat, qui explique que le héros doit sauver un chat dans la première scène pour qu’on l’aime. Moi, j’ai décidé de tuer le chat. » et ce, dès la séquence d'ouverture de la série... pour vous dire que non, le spectateur ne décrira pas Ditte comme une gentille dame.
Commentaires (19)
Quel épisode 😱
J'me suis poilée de rire!
Bien passionnant cet épisode : on se concentre juste sur Walt et Jesse et leur galère. Pauvre Walt sinon, la tumeur diminue mais il a un autre problème de santé...
Jesse est excellent!
Personnellement, j'ai adoré la réplique de Jesse quand il est convaincu que Walt est capable de créer un robot pour aller chercher de l'aide. Un moment hilarant!
Dude, Funyuns are awesome. :3
C'était assez long quand même.
excellent épisode. Quand Jesse verse toute l'eau pour éteindre le feu j'étais morte de rire; toute la splendeur de ce personnage j'adore ^^
Un excellent duo qui ne fait que s'apprécier et se détester tout le long !
Jesse dans toute sa splendeur. J'aime énormément ce personnage ! La duo est bien présent dans cet épisode et j'aime beaucoup ! Les acteurs sont excellents !
J'ai adoré ! J'aime ces épisodes où Walt et Jesse sont ensemble à "cuisiner" et pas chacun de leur côté à régler leurs problèmes. De très belles images aussi dans cet épisode. Chaque scène pourrait être un tableau. Ca donne envie d'aller visiter le Nouveau-Mexique ! ==>
Épisode un peu relou, l'histoire de la panne m'a plus ennuyé qu'autre chose.
Excellent épisode qui met enfin en avant la "relation" Walter/Jesse même si la fin est étrangement rapide.
C'est du délire les galères qui leur arrivent ?! Jesse, en plus, n'en râte pas une ! Ils sont tristement comiques. Toutefois c'est quand même un peu tout le temps la même chose, ça rame un peu à décoller !
Bon épisode mais la fin de l'épisode est super triste. Quelle horreur ce genre de maladie... Sinon Jesse toujours au top ahah !
Bon épisode mais encore déçu, la série nous montre peut de détail et ça devient lassant personnellement.
Un peu trop McGyver parfois ce Walt!
trop drôle!
4 jours au grand air ! Ça aide à mieux se connaître !