Espérant trouver un moyen pour arrêter Arthur, Hiro et Claire remontent 16 ans dans le passé, au moment où Kaito Nakamura confie Claire à Mr Bennet.
Entre-temps, Peter et L' Haïtien font équipe pour mettre un terme à Arthur Petrelli une fois pour toute, mais ils sont interrompus à la dernière minute par Sylar.
Par ailleurs, Mohinder fait une découverte qui changera probablement tout concernant la formule.
Dans SupraCell (ou Supacell en VO), disponible sur Netflix depuis le 27 juin, cinq inconnus habitant la banlieue sud-est de Londres connue pour ses inégalités très fortes, se découvrent soudainement des superpouvoirs. Michael est un livreur stable et posé qui vient de demander sa petite amie en mariage. Alors qu’il se fait mortellement attaquer, il réalise qu’il peut voyager dans le temps. Tazer, auteur de l’agression, comprend, lui, qu’il a désormais le pouvoir d’invisibilité. Andre est un père de famille au chômage, inopinément investi d’une force surhumaine, alors que Nadine essaye de comprendre ses soudaines habilités télékinétiques. Enfin, Rodney, un dealer de marijuana, se révèle comme un superhéros doté d’une vitesse incroyable. Alors qu’ils sont menacés par une organisation mystérieuse, ils vont devoir se reconnaître, s’apprivoiser et trouver un moyen de lutter ensemble pour se préserver et protéger leurs proches.
Digne successeur de Heroes ou de Misfits – une autre série britannique – Supracell, fiction made in Netflix, se concentre, elle aussi, sur des êtres ordinaires qui expérimentent soudain l’extraordinaire grâce ou à cause d’une maladie appelée la drépanocytose. Des êtres, on ne peut plus différents, qui vont devoir placer leur destin entre les mains des uns et des autres alors qu’ils sont de parfaits étrangers. Un saut dans le vide qui ne va pas se faire sans mal, notamment pour Michael (Tosin Cole), contraint de se lier à Tazer (Josh Tedeku), un as du couteau et chef de gang, qui évolue à des années-lumière de sa vie stable et organisée. Michael qui forme, par ailleurs, avec sa fiancée Dionne (Adelayo Adedayo) le cœur, voire le corps émotionnel de la série. Le couple a beau être jeune, il est d’une solidité rare, apportant ainsi un vent de fraîcheur dans un panorama télévisuel qui a toujours beaucoup de difficultés à écrire des relations saines et durables. Et si la galerie – nombreuse – de personnages demande d’emblée une attention particulière de la part du public, le fait d’avoir choisi des protagonistes aussi éclectiques fait naître des dynamiques tout à tour amicales ou familiales riches. Sabrina (Nadine Mills), une infirmière douée et dévouée avec la tête sur les épaules, vit avec sa sœur Sharleen (Rayxia Ojo), impulsive et bavarde. Andre (Eric Kofi-Abrefa) est le père absent en phase de rédemption d’un adolescent timide et Rodney (Calvin Demba), le plus jeune des cinq superhéros, place l’amitié avec Spud (Giacomo Mancini) au-dessus de tout. Des valeurs positives qu’a voulu mettre en avant Rapman, de son vrai nom Andrew Onwubolu, qui endosse de multiples casquettes créatives dont celle de réalisateur. Et s’il n’en est pas à son coup d’essai, on peut que saluer le soin qu’il a voulu apporter à l’esthétique et aux effets spéciaux de SupraCell, en en faisant un produit télévisuel de bonne facture.
Les six épisodes de SupraCell (Supacell) sont à retrouver sur Netflix depuis le 27 juin.
Commentaires (4)
Je commence vraiment à ne plus comprendre la personnalité des gens. Surtout Sylar et Nathan, ils changent de camp tellement de fois que j'en ai le vertige.
Pourquoi elle 😭😭😭😭😭
Hop reparti dans le délire bad Sylar alors qu'il aurait pu prendre le pouvoir d'Arthur et ne plus être obligé de tuer pour avoir des pouvoirs...