Walter fête ses 52 ans, seul, sous un faux nom et s'est acheté une mitrailleuse légère. Deux ans plus tôt, il tuait Gus Fring. Il s'assure que rien ne pourra mener Hank sur ses traces, mais il reste un détail : les enregistrements vidéos de Gus, dont seul Mike connait la localisation. Il est cependant trop tard quand Walt et Jesse retrouvent Mike : l'ordinateur portable contenant les enregistrements a été saisi et mis sous scellés. Jesse a alors une idée : construire un électro-aimant capable de générer une onde électromagnétique qui effacera les données. Ils utilisent ainsi l'aimant géant d'une casse de voitures, qu'ils alimentent avec des batteries de voiture. Avec Mike, Jesse et Walt pénètrent l'enceinte du central de police et activent l'aimant. Ils manquent de se faire capturer, Walt ayant provoqué une onde de forte intensité qui a provoqué des dégâts parmi les indices, dont une photo déchirée de Gus qui montre une liste cachée. De son côté, Skyler apprend l'accident de Ted. Saul lui apprend qu'il a survécu, mais les cervicales brisées, il est désormais paralysé. Ted rassure Skyler en lui affirmant qu'il a gardé le secret sur leurs transactions financières. Saul le révèle à Walter, qui est furieux d'avoir été tenu à l'écart et fait chanter l'avocat en rappelant qu'il est complice de l'empoisonnement du garçon. Walt va ensuite voir Skyler et lui pardonne ses secrets.
Pour cette reco du weekend, alors que Marc va bientôt sur Chupacabra pour galérer dans son jeu de télé dans Le flambeau de retour le 23 mai, revenons sur ces dramédies avec des héroïnes qui doivent tout faire pour s’en sortir que ce soit du côté des relations amoureuses ou juste pour survivre.
Très sous-estimée, SMILF est une dramédie qui peut faire passer du rire aux larmes. Partez dans la galère de Bridgette, une mère célibataire de milieu modeste qui élève Larry, petit garçon de deux ans. La prestation de Frankie Shaw ne déçoit pas dans cette série qui n’a pas peur de montrer la réalité et de dire les choses. Elle se rapproche énormément de Mom dans le milieu social et les mêmes difficultés qu’elles connaissent, mais aussi Fleabag qui était sortie un peu plus tôt et qui prend le point de vue de la femme féministe presque malgré elle.
Frankie Shaw (vue dans Mr Robot) joue donc dans la série, mais en est aussi la créatrice, scénariste et réalisatrice. Les moments de malaise ne durent jamais trop longtemps pour être affreusement gênants mais juste assez pour attirer l’empathie du spectateur. Ce projet de cœur aura duré 2 saisons et son ton un peu très franc n’aura pas plu à tout le monde.
Commentaires (59)
Une reprise tranquille
Je recommence, j'avais oublié que dès le premier épisode ça partait direct en brioche, excellent ! "Walt, is that you?"
Profouseur
Une scène d'introduction intriguante, un Walter White plus noir et autoritaire que jamais. Cette ultime saison démarre à merveille
Dialogues entre Mike, Jesse et WW épiques. De même pour la mise en oeuvre du plan (un peu rapide quand même) mais top à la réal' Avec un WW qui s’affirme de plus en plus, jusqu'à sa chute ?
Walt devient de plus en plus inquiétant! La collaboration avec Mike amène des situations innatendues, le coup de l'aimant est du génie.
Walters deviens assez insupportable
Oh yeah toujours aussi bon ! Arff' Walt est littéralement devenu un autre homme ... ou peut-être que dans le fond il a toujours été comme ça ! Le coup de l'aimant vraiment c'est du beau aussi (Jessie m'a bien bien fait rire sur le coup)! Mais quand une preuve disparaît, une autre apparaît ..
si les deux bagnole c’était entrechoquer la fin aurait était bien différente
Je pensais que Ted était mort. ^^ Ça fait bizarre de le voir sans cheveux. Très bon début de saison !
Ça commence bien, trop bien même... Walt est vraiment devenu mégalomane ! C'est impressionnant !
Avec plus que du retard, je trouve ça bien entendu formidable.
Quel grand retour ! Que de changements, tout en restant dans la parfaite continuité : je suis fan !
Grand retour comme d'hab !
Le complexe de Dieu pour Walt ? Que c'est bon d'entendre à nouveau ce générique. Le coup de l'aimant m'a bien fait rire. Le côté bras cassé de la Tram Walt/Jesse marche toujours ! Sinon le pardon à la fin... wohaoo ! Et puis on est tout de suite dans le bain, l'essence même de la série : une lenteur dans la mise en place avec un fond d'ambiance malsaine. C'est signé Br.Ba. !
Je n'ai vraiment pas vu le générique de fin arriver tellement je savourais ce grand retour de Walt! Eh ben dis donc, difficile de le reconnaître! où va le mener cette soif de pouvoir et de domination qu'il a conquise au fil des trois premières saisons?
Le scénario de cet épisode sublime l'excellence. Ça se consomme comme un grand cru.
La transformation morale et physique fait froid dans le dos, et encore plus quand on repense au fait que dans la timeline de Breaking Bad, tout se passe depuis moins d'un an. Du coup, ce n'est plus du tout le cancer qui le ronge de l'interieur, mais cette soif de pouvoir. Maintenant que cette ultime saison est lancée (en deux parties, certes), la question n'est pas de savoir si ça se finira bien (aucune chance), mais à quel point ça va être le chaos dans la vie de Walt et Jessie (je sens bien le second mettre une balle dans la tête du premier)... Et pour en revenir à ce season premiere, j'ai quand même la désagréable impression que les scénaristes ont un stock de punchlines à placer dans les dialogues de Walt : "We're done when I say We're Done", "Because I say it", "I'll forgive you", etc... Autant de phrases qui n'auront jamais l'impact de LA PHRASE : "You think I am in danger ? I AM THE DANGER !"
Plutot lent a démarrer, mais toujours agréable a suivre
Très bonne reprise ! Ca motive pour la suite et ca change des 4 premières saisons !