Sam, Dean et Bobby se rendent dans un parc du New Jersey pour chasser une créature qui a attaqué des personnes dans les bois.
Adrian Monk est un enquêteur doté d’une mémoire photographique prodigieuse qui lui permet de prêter une attention minutieuse aux détails. Sa particularité ? Il compte de nombreux Troubles Obsessionnels Compulsifs (TOC) et autres phobies qui compliquent grandement son quotidien et, par ricochet, ses enquêtes. Des enquêtes qu’il mène pour le compte de la police de San Francisco aux côtés de Leland Stottlemeyer, un capitaine qui ne comprend pas toujours le fonctionnement de Monk mais qui lui reconnaît des qualités de déduction redoutables et de Randy Fisher, un lieutenant dévoué quoique quelque peu naïf.
Pour le plus grand plaisir des fans, l'intégrale est disponible sur Netflix.
Sortie à l’origine en 2002 sur la chaîne du câble américain USA Network, Monk met en scène un anti-héros, brillant, mais pétri de névroses. Un choix narratif qui, à l’époque, était plutôt original et a, sans nul doute créé, quelques émules dans le paysage télévisuel international. Et si Monk a tellement marqué les esprits, c’est aussi – et surtout – grâce à l’interprétation de Tony Shaloub. Une interprétation qui parvient à éviter la caricature et confère au personnage des nuances qui le rendent à la fois attendrissant et drôle. Un équilibre que l’on retrouve également dans l’ADN même de la série qui oscille entre de purs moments de comédie et des enquêtes plus dramatiques. N'oublions pas que le fil rouge qui jalonne les huit saisons de Monk reste le meurtre non élucidé de Trudy, la femme du héros, décédée dans un attentat à la bombe. Pour autant, la série parvient à jongler harmonieusement avec ces deux balles narratives. Le côté comique est assuré à travers les interactions de Monk avec ses assistantes : Sharona (Bitty Schram) dans les trois premières saisons puis la douce Natalie (Traylor Howard) et l’équipe qu’il assiste sur les enquêtes. Une équipe dirigée par le Capitaine Stottlemeyer (Ted Levine) ancien partenaire d’Adrian qu'il a dû pousser vers la porte de sortie lorsque celui-ci se laissait emporter par la dépression suite au décès de Trudy et Randy Fisher (Jason Gray-Stanford) un lieutenant maladroit et puéril. Quant aux enquêtes, le deuxième pilier de la série, qu’elles soient intenses ou plus légères, c’est l’ingéniosité qui prévaut. Ainsi, même les mystères les plus décalés profitent d’une explication fine de Monk qu’il introduit par la fameuse phrase « Voilà ce qu’il s’est passé ».
Commentaires (8)
"Si tu crève avant moi, je te tue" cette réplique m'a tué!!!!! Sinon, épisode pas mal, Dean et son histoire d'amour avec les cheesburgers... Et la salade de retraité de Bobby... C'est vrai que j'ai pas mal ri
Voilà un bon épisode ! :D
Fin horrible avec les cris de Sam et Dean et nous face à un écran noir, c'était vraiment stressant. Mais toujours cet humour inattendue qui est très sympas car la série et sérieuse mais avec des petite "blagues" qui arrivent par surprise de temps en temps et ça c'est cool!! Et Dean avec son cheeseburger et son attitude de shooter c'est marrant et encore Bobby et ces vannes, répliques et cassages marquant et sublimes sont inoubliables.
Quelle fin ! Les leviathans sont terribles.
Clair que l'épisode est vraiment intéressant, par contre les monstres qui s'installent dans le monde réel pour le dominer ça fait un peu déjà vu. Toutefois, la fin de l'épisode laisse un suspense de malade. J'espère que Bobby n'aura rien de grave!
Ah pouté de bowdel de merde ! Je vais pas tenir jusqu'au 3 décembre !!!
J'ai adoré cet épisode ! L'intrigue sur les Leviathans revient une fois de plus et l'épisode est très bien construit. Une fin qui annonce une suite terrible !
Cet épisode. Cette saison. Je... fics, ça fait référence à des éléments passés, c'est beau, c'est intelligent, c'est drôle, c'est vachement bien fait. Tout ce que j'aimais dans Supernatural, à l'écran, après une saison entière de merde. Cette fin ;____; Mais je suis heureuse, à un point inimaginable, de voir cette série renaître de son marasme. Il m'a quand même fallu 9 épisodes pour arrêter de douter, SPN est de nouveau ma série préférée, et tant pis pour la saison ratée.