Sur le chemin qui ramène Sam, Dean et Jack au bunker, ils rencontrent un ancien allié, Donatello Redfield (le prophète qui les a aidé lors de l’an bataille avec Amara).
Nous découvrons également le nouveau roi de l’enfer, Asmodeus, qui cherche désespérément à retrouver le fils de Lucifer afin de faire de lui le dirigeant des enfers en attendant le retour de son père sur le trône. Asmodeus finit par retrouver la petite bande et demande à ses démons d’attaquer Sam et Dean pendant que celui-ci sous les traits de Donatello manipule Jack. Heureusement Sam, Dean et Donatello arrive à temps pour empêcher la réussite du plan d’Asmodeus.
A la fin de l’épisode, une fois arrivé au bunker, Dean prévient Jack que si celui-ci faisait une seule erreur il le tuerai.
Dans le monde parallèle, Mary essaye toujours d’echapper a Lucifer mais celui-ci l’a retrouvé mais ne la tue pas car il a besoin d’elle pour sortir et retrouver son fils (il l’echangera a Dean et Sam en échange de Jack). Ils vont devoir, avant cela, faire face à des anges et au Michael de ce monde qui ne souhaite qu’une chose, tuer Lucifer.
Adrian Monk est un enquêteur doté d’une mémoire photographique prodigieuse qui lui permet de prêter une attention minutieuse aux détails. Sa particularité ? Il compte de nombreux Troubles Obsessionnels Compulsifs (TOC) et autres phobies qui compliquent grandement son quotidien et, par ricochet, ses enquêtes. Des enquêtes qu’il mène pour le compte de la police de San Francisco aux côtés de Leland Stottlemeyer, un capitaine qui ne comprend pas toujours le fonctionnement de Monk mais qui lui reconnaît des qualités de déduction redoutables et de Randy Fisher, un lieutenant dévoué quoique quelque peu naïf.
Pour le plus grand plaisir des fans, l'intégrale est disponible sur Netflix.
Sortie à l’origine en 2002 sur la chaîne du câble américain USA Network, Monk met en scène un anti-héros, brillant, mais pétri de névroses. Un choix narratif qui, à l’époque, était plutôt original et a, sans nul doute créé, quelques émules dans le paysage télévisuel international. Et si Monk a tellement marqué les esprits, c’est aussi – et surtout – grâce à l’interprétation de Tony Shaloub. Une interprétation qui parvient à éviter la caricature et confère au personnage des nuances qui le rendent à la fois attendrissant et drôle. Un équilibre que l’on retrouve également dans l’ADN même de la série qui oscille entre de purs moments de comédie et des enquêtes plus dramatiques. N'oublions pas que le fil rouge qui jalonne les huit saisons de Monk reste le meurtre non élucidé de Trudy, la femme du héros, décédée dans un attentat à la bombe. Pour autant, la série parvient à jongler harmonieusement avec ces deux balles narratives. Le côté comique est assuré à travers les interactions de Monk avec ses assistantes : Sharona (Bitty Schram) dans les trois premières saisons puis la douce Natalie (Traylor Howard) et l’équipe qu’il assiste sur les enquêtes. Une équipe dirigée par le Capitaine Stottlemeyer (Ted Levine) ancien partenaire d’Adrian qu'il a dû pousser vers la porte de sortie lorsque celui-ci se laissait emporter par la dépression suite au décès de Trudy et Randy Fisher (Jason Gray-Stanford) un lieutenant maladroit et puéril. Quant aux enquêtes, le deuxième pilier de la série, qu’elles soient intenses ou plus légères, c’est l’ingéniosité qui prévaut. Ainsi, même les mystères les plus décalés profitent d’une explication fine de Monk qu’il introduit par la fameuse phrase « Voilà ce qu’il s’est passé ».
Commentaires (12)
C'est carrément excellent +!!
C’est chiant quand Dean broie du noir / pessimiste car il est moins marrant. J’aime bien le personnage de Jack. Les scènes dans le monde parallèle sont pas interessantes.
Volontaire ou non, j'espère qu'on va garder Asmodeus, il est drôle.^^ Dean et Sam, c'est du réchauffé donc je suis habitué. Et j'adore Jack, il est trop adorable.^^ Par contre, l'idée des Shedims me fait déjà peur... Bilan : Un bon épisode.
Disons que cet épisode n'était pas le pire de Buckleming mais moi qui commence chaque saison avec l'espoir que pendant le Hellatus quelqu'un à éduquer ces deux là pour qu'ils arrêtent de nous filer des tentatives de viol et des tonnes d'autres choses qui faisaient peut-être scandal quand ils sont devenu scénaristes mais maintenant non c'est juste problématique... Comme d'habitude pour les épisodes de ces scénaristes les seuls choses que j'ai aimé étaient indépendantes de leur volonté
Un début de saison qui me plait bien, surtout pour l'arrivée de Jack et son intégration avec les frères ! Sam profite de son rôle de mentor, Dean est plus réservé et en colère... Mais la scène finale entre lui et Jack était très touchante, et j'avoue avoir bien rit en voyant Jack imiter Dean en train de manger :D !
Jack a les mêmes mimiques que Castiel !
Heureusement que Jack est là (je n'aurai pas cru dire ça vu comment l'intrigue du nephilim m'intéressait l'an dernier). Déjà, le duo Jack/Sam fonctionne très bien. J'adore voir Sam dans le rôle du protecteur, du mentor. Enfin il retrouve une place au premier plan comparé à ces dernières années et c'est fait avec justesse. J'ai beaucoup aimé la scène dans la ruelle, avec le discours de Sam, les explications si justes sur son frère, et ce pauvre Jack qui a tant besoin d'un calin. Ensuite, même si c'était peut être un peu trop tôt pour basculer sur le comique, je n'ai pas trouvé désagréable cette scène où Jack tente d'imiter Dean car, pour moi, c'est une tentative comme une autre pour s'adapter à ce nouveau monde. La scène de fin, où Jack se poignarde, son regard quand il parle à Dean et la réponse de ce dernier était très touchante. De son côté, Dean est égal à lui même. Il ne faut pas s'attendre à ce qu'il change d'avis sur Jack facilement et c'est très bien comme ça. J'espère juste que cette divergence d'opinion avec Sam sur le sujet ne va pas amener à une brouille et une séparation des Winchester. On a déjà donné et on ne veut plus de ça. Je trouve tout de même que Jack ressemble beaucoup à Castiel et pas uniquement dans sa naïveté sur le monde qui l'entoure, mais surtout dans ses expressions. Est-ce voulu pour montrer qu'inconsciemment, Jack a déjà été influencé par son "père" ? Pour le reste... et bien, ce n'était pas génial. Il y a un manque de rythme évident. Les scènes s'enchainent, mais un peu trop abruptement. J'attendais de voir Asmodeus et j'ai été un peu déçue. Il ne m'est pas complétement antipathique, mais il y a un truc qui me gêne, comme si on avait déjà joué cette partition. Pourtant, il ne me fait pas penser à Crowley pour autant. Je vais encore attendre avant de me prononcer. Cela dit, son plan pour utiliser Jack était bien pourri. Ensuite, la réapparition de Donatello est plus qu'étrange. Déjà, je l'avais oublié, ensuite je le croyais mort. Il tombe surtout comme un cheveu sur la soupe, ne sert que d'accessoire pour amener les Winchester d'un point A à un point B. Aucun intérêt donc. Pour finir, l'UA... et là, on touche le fond. J'ai vraiment du mal avec le filtre qu'ils collent dès qu'on est là-bas. Mais surtout, rien n'est intéressant : - Le super plan de Lucifer est simplement d'échanger Mary contre Jack ? Whaaat ? N'importe quoi. Y avait pas mieux comme raison pour qu'il ne la tue pas ? - Lucifer cabotine, surjoue... et est de plus en plus agaçant et antipathique. - Mary ne sert à rien, elle a 2 lignes de texte et le pire, c'est qu'au lieu de chercher à s'enfuir quand Lucifer et Michael s'empoignent, elle reste à côté du premier ! Pourquoi ??? - Je ferai l'impasse sur la tentative de viol tellement ça m'a outrée (mais bon, c'est BuckLeming, fallait s'y attendre) - Michael n'a aucune présence, aucun charisme, et perso, je m'en fous de son plan. - Ah oui, et Lucifer et Mary marchent, marchent et marchent... et tournent en rond vu qu'il n'y a qu'un seul décor, et les mêmes cadavres. Visiblement, ça ne gêne ni l'un ni l'autre d'ailleurs. Après le premiere qui était très réussi (en dehors des anges), ce 2e épisode est clairement plusieurs niveaux en dessous, mais heureusement, il y a Jack !
cette saison apporte vraiment du nouveau pour une fois